Nous voici réuni en ce jour de juin pour l'érection d'un nouveau site consacré à des histoires improbales et sensuelles.

Qu'est-ce que la sensualité sinon le désir charnel, le plaisir des sens décuplés à l'infini. S'abandonner, se mouvoir, se réinventer, et ne pas penser qu'à soit. Le plaisir de l'autre provoque bien souvent son propre plaisir... Que d'orgasme m'a procuré mon amour rien qu'en haletant, en laissant achapper quelques sons trahissant son bonheur suprême. J'aime sentir mon amour trembler à mon contact, j'aime sentir sa respiration redoubler en même temps que son coeur. Il ne me faut guère plus que son plaisir.

Et pourtant, combien de fois l'envie soudaine nous est monté à la tête. Il n'y a plus de sensualités, les caresses sont moindre et le paisir est différend. Mais que cela est bon quand je lui montre intensément mon désir et mon envie. Sauvages, nos deux corps ne peuvent se décoller, nos bouchent s'entre-melent nos sexes se complétent. J'aime lui faire l'amour. Mais j'aime aussi quand cela devient plus violent, quand il ne s'agit que de pulsions sexuelles incontrolables. Il faut alors se laisser aller à ses envies les plus bestiales, et nous en avons!

Par erotica - Publié dans : erotica
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Photo D'un de mes blogs préférés allez la voir ! Un trés bon conseil !

 

Que j'ai aimé cette soirée près du feu de bois allumé pour l'occasion.

Nous étions tous les deux dans ce chalet de montagne, au milieu de nulle part. Par la grande baie vitrée, nous pouvions voir dehors le froid blanchir le paysage Le contraste entre l'intérieur de la pièce et l'extérieur était saisissant et excitant. Au sol et positionné devant la cheminée; un tapis rouge recouvrait le carrelage. Nous voulions nous réchauffer devant les flammes, un moment, le temps que la chaleur envahisse entièrement le chalet. Son regard était si intense à ce moment que j'ai compris tout de suite ce qu'elle voulait. Il n'y avait pas de meilleur endroit, de meilleur moment pour la prendre dans mes bras. Doucement, j'ai commencé à lui embrassé le coup. Son "mmm" me fît comprendre son enthousiasme à ces quelques baisers délicatement apposés. Mais elle en voulait encore plus. Elle voulait autre chose.

Je ne sais comment, elle fît glisser mes vétement d'un trait sans que je puisse opposer de résistance. De toute façon, en avais-je réellement envie? Bien sûr que non. Aussitôt après, elle pris mes mains et les attacha derrière mon dos. Son but: jouer avec moi, me faire languir. Doucement, elle s'écarta de moi pour enlever son gros pull d'hiver. Ses formes généreuses pouvaient à présent se dévoiler au grand jour. Son t-shirt moulant laisse tout entrevoir de sa personnalité physique. Et dieu sais qu'elle en a. Je sentais déjà l'effet immédiat  de ses gestes. Après avoir mis en fond sonore une musique envoutante, elle me fit par que son pantalon lui tenait trop chaud. Aussi, l'enleva t-elle en prenant la précaution de me montrer ses fesses et son déhenchement surnaturel.  Ce streaptease improvisé était parfait à mon gout. Je ne pouvait plus la quitter du regard. Ses douces jambes s'approchaient de moi. Je pouvais voir son strig sous toutes les coutures. Elle aime que je la dévore des yeux, impuissant. Elle me tenait dans la paume de sa main et en profitait. Son petit jeu se déroulait à merveille et bientôt son haut ne la couvrait plus. Elle apparaissait devant moi comme un ange aux formes généreuse.

Elle me plaqua assez lourdement contre le sol. Il n'y a rien à dire, ce soir c'est elle le maître. Sa langue parcourait le trait de mes lèvres puis descendait, encore, encore. Mon amour se redressa sur les genoux son sexe au-dessus de mon visage et me montra comment ôter une culotte, inutile pour l'occasion. Je n'en pouvait déjà plus de la voir ainsi. A ma portée, mais sans pouvoir toucher sa peau, ses seins, ses cuisses, ses reins. Je devenais comme fou et mon entre jambe gonflait à vue d'oeil. Mais ce n'était pas encore la fin de mon calvaire. Elle se retourna, toujours en laissant son sexe juste au dessus de me yeux. " tu vois ce petit bouton au-dessus de la fente, je veux que tu le lèche!" Ma langue sortir instinctivement pour obéir aux ordres que j'avais reçu. Je lui titillais, la sucais, la léchait aussi bien que je le pu dans une telle position, sans les doigts... Elle appréciait, c'était le principal. Car je n'avait pas envie que l'on m'enlève ce graal qui commencait à mouiller teriblement. petit à petit elle commencait à se déhencher pour suivre le rythme de ma langue, en accélérant, toujours plus vite. Ma chérie  changea de position. Elle s'assit sur moi, son minou bien en vue et commança à se toucher. Mon ventre étatit trempé de son jus mais elle n'arrêta pas sa masturbation. Seulement après avoir mis un doigt puis deux, cela ne suffisait plus. Il lui fallait quelque chose de plus long, de plus large et de plus dur. Elle fixa son regard sur le mien. Elle sortit l'index de sa fente, et me donna encore un ordre: " lèche-moi ça." Je goutais à son jus délectable une fois de plus, léchant un à  un ses doigts. Mon sexe n'en pouvait plus. Il était en érection depuis plusieurs bonnes minutes maintenant. Elle se remis de dos, ma position favorite. Après avoir fait glisser mon sexe le long de sa fente plusieurs fois elle se tapa le minou avec. Elle aussi n'en pouvait plus. Ses jambes tremblaient, ses gestes étaient moins précis. Aussi ce fût comme une délivrance quand elle me permis d'être en elle. Cette sensation si exquise de faire l'amour avec la femme de vos rêves se réalisent. Je ne voyait que son dos, mais elle m'excitait déjà terriblement. Son rythme était insoutenable. Sa chatte était tellement bien lubrifié et si accueillante je n'en pouvait plus.  Elle jouit avant moi. Je sentis ses parois se contracter contre ma bite. Elle s'enleva de ce pieux et le prit à pleine bouche, tout dégoulinant de son jus qu'il était. Mais il lui fallait pas trop enlevait ce jus. Alors replaca mon sexe dans son dernier trou. J'adore tellement être dans son cul. C'est si étroit, si parfait. Elle aime aller à son rythme, variant la vitesse. Je n'en pouvait plus. Cela faisait trop d'émotions pour moi que j'éjaculais à l'intérieur.

Elle me regarda en arrêtant de me chevaucher.  Ma chérie aime garder un maximum de temps ma bite en elle. Alors elle s'allongea tout contre moi, son corps dégoulinant de sueur, à côté de ce feu de cheminée embrasé,  qui comparé à notre amour n'est qu'un feu de paille.

Par erotica - Publié dans : histoires personnelles
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